La structure en 3 actes pour bâtir ton autorité narrative
👉 Pas besoin d’être scénariste. Juste de comprendre le tempo émotionnel.
Tu veux qu’on t’écoute. Te lise. Te suive.
Pas juste parce que tu parles fort, mais parce que tu dis quelque chose qui résonne.
Et pour ça, ton histoire doit tenir debout.
Pas juste vibrer. Pas juste émouvoir.
Elle doit construire ton autorité. Ta crédibilité. Ton rôle.
👉 Et la structure qui fait ça depuis Aristote, c’est celle des 3 actes.
Simple. Puissante. Universelle.
Pas besoin d’être Spielberg. Il suffit de comprendre comment ton parcours devient un récit qui emporte.
Ce n’est pas de storytelling “pour faire joli”.
C’est du storytelling stratégique.
Tu veux qu’on se souvienne de toi ? Pose tes 3 actes. Et raconte.
Acte 1 : Le point de départ — ta faille, ton chaos, ton flou
🌪️ Ce que tu étais, ce que tu ne voyais pas encore
C’est ici que tu captes l’attention.
Pas en te posant en expert. Mais en montrant ce que t’étais avant.
Avant d’y voir clair. Avant d’avoir les outils. Avant d’être “là où t’en es aujourd’hui”.
👉 Tu parles :
- de ta confusion
- de ta peur
- de ton mode “survie”
- de ce que tu croyais vrai (et qui ne l’était pas)
Pourquoi c’est puissant ?
Parce que ton client est encore là. Dans ce flou. Dans ce doute. Dans ce “bordel”.
Et s’il te lit, c’est parce qu’il cherche quelqu’un qui dit :
“Je comprends ce que tu vis. J’ai été à ta place.”
Acte 1 = ancrage émotionnel + identification.
Acte 2 : La bascule — le déclic, la claque, la révélation
⚡ Ce que t’as compris. Ce qui t’a fait changer de prisme.
Pas besoin d’un trauma spectaculaire ou d’une success story explosive.
Parfois, c’est une fatigue. Un ras-le-bol. Un mot. Une prise de conscience.
👉 Tu racontes :
- le moment précis où tout a basculé
- ce que tu ne pouvais plus supporter
- ce que tu as vu, compris, intégré
Et surtout : tu montres que tu as décidé de bouger.
Pas encore de réussir. Juste de ne plus rester là.
Acte 2 = momentum. C’est le point d’inflexion. Le nœud dramatique.
Là où ton autorité commence à se dessiner.
Pourquoi ? Parce que tu n’as pas juste subi.
Tu as décidé. Et c’est ça qui te rend crédible.
Acte 3 : La remontée — ce que t’as construit, ce que t’as compris, ce que tu proposes
🧗♂️ C’est ici que tu bâtis ta posture. Pas comme un gourou. Comme un guide.
Ce dernier acte, c’est ta montée en puissance.
Tu racontes comment t’as avancé. Les outils. Les chutes. Les petites victoires.
Et surtout :
👉 Tu montres ce que tu proposes aujourd’hui grâce à ce chemin.
C’est ici que tu connectes ton vécu à ton offre.
Tu ne racontes pas ta vie “pour le fun”.
Tu racontes pour que l’autre comprenne pourquoi tu es LA bonne personne.
Acte 3 = transformation + transmission.
Pas pour impressionner.
Pour donner un cadre, une promesse, une autorité légitime.
En résumé, camarade
Ta vie n’est pas un roman. Mais elle a un rythme. Un tempo. Une tension.
Et si tu veux que ton audience reste, adhère, achète…
donne-lui une structure.
Le storytelling en 3 actes, c’est :
- L’identification (Acte 1) : je suis comme toi.
- La décision (Acte 2) : j’ai compris un truc clé.
- La proposition (Acte 3) : je peux t’y amener aussi.
Ce n’est pas de l’invention.
C’est de l’alignement.
Ce n’est pas un costume.
C’est une colonne vertébrale.
Tu veux qu’on structure ensemble ton récit en 3 actes ?
Qu’on bâtisse ton autorité narrative sans blabla ni poudre aux yeux ?
Tu sais où me trouver.