Les 3 erreurs de storytelling qui flinguent ta crédibilité

Ton storytelling est flou, nombriliste ou sans intention ? Il flingue ta crédibilité. Voici les 3 erreurs à éviter absolument pour raconter ton histoire avec impact, sans perdre ton audience, et te positionner clairement sans te perdre dans le pathos.

— storytelling-erreur

Tu veux inspirer ? Commence par clarifier

👉 Trop flou, trop égo, trop “moi je” ? C’est le moment de faire le ménage.

Tu veux marquer les esprits ? Tisser du lien ? Vendre sans forcer ?
Alors t’as forcément entendu ce conseil : “fais du storytelling”.
Mais à trop vouloir “se raconter”, on finit souvent par s’embourber.
Et ce qui devait te démarquer… te décrédibilise.

Pourquoi ?

Parce que t’as confondu authenticité avec déballage, histoire avec ego, et intention avec flou artistique. Résultat : on ne comprend pas ce que tu veux, à qui tu parles, ni pourquoi on devrait te faire confiance.

👉 Dans cet article, je vais te montrer les 3 erreurs mortelles en storytelling.
Celles qui t’empêchent d’être percutant.

Et surtout, comment les corriger pour enfin raconter quelque chose qui fait mouche.

Erreur n°1 : Tu racontes, mais c’est flou

🌫️ T’as une histoire… mais personne pige où tu vas

Tu partages ton vécu. Tu exposes ta galère. Tu veux inspirer.
Mais ton récit ressemble à une route de montagne dans le brouillard : ça tourne, ça tourne… et on sait jamais où ça mène.

Le flou, c’est l’ennemi de la confiance.
Si ton lecteur se demande “Et donc ?”, t’as déjà perdu.

Pourquoi ça coince ?

  • T’as pas défini de message clair à transmettre
  • Tu balances des anecdotes sans lien entre elles
  • Tu veux trop en dire et tu t’éparpilles

👉 La solution ?
Structure ton récit autour d’une idée centrale. Une seule.

Cadre simple à utiliser :

  1. Avant : ce que tu vivais (le contexte)
  2. Le déclic : ce qui t’a bousculé
  3. Après : ce que tu en as tiré (et ce que tu proposes maintenant)

Chaque élément doit servir ton message, pas ton besoin de tout raconter.

Erreur n°2 : Tu parles trop de toi

🪞Le storytelling nombriliste : fléau moderne

Tu veux inspirer… mais tu te regardes écrire.
Tu dis “je”, tu dis “moi”, tu dis “ma vie”, tu dis “mes blessures”…
Et pendant ce temps-là, ton lecteur se demande quand tu vas lui parler de lui.

Mauvais storytelling = quand ton histoire devient ton nombril.

On s’en fout que t’aies galéré si tu ne relies pas ça au lecteur.
On n’achète pas une vie, on achète une transformation.
Et cette transformation, elle doit parler à l’autre. Pas à toi.

👉 La solution ?
Parle à ton “toi d’avant”.
Celui qui était perdu, qui doutait, qui cherchait une solution.
C’est lui ton client idéal. Ton 4h18. Julie. Philippe.

Pose-toi cette question à chaque paragraphe :

« Est-ce que ce que je dis là aide mon lecteur à avancer ? »

Si la réponse est non, vire le passage.

Erreur n°3 : T’as pas d’intention claire

🎯 Tu racontes… mais pour quoi faire ?

Raconter pour raconter, c’est du bavardage.
Raconter avec une intention claire, c’est du positionnement.

Trop de gens confondent :

  • L’émotion avec la stratégie
  • L’intime avec l’impact
  • La sincérité avec la pertinence

Ton storytelling n’est pas une thérapie.
C’est un levier de communication. Une preuve de ta légitimité.
Il doit rassurer, crédibiliser, connecter et vendre.

👉 La solution ?
Pose-toi cette question avant chaque contenu :

« Qu’est-ce que je veux que la personne retienne, ressente, ou fasse à la fin de cette lecture ? »

Et ensuite, déroule ton récit comme un chemin vers cette intention.

Quelques intentions possibles :

  • Créer un lien de confiance
  • Apporter un déclic
  • Montrer ta posture d’expert
  • Donner envie de passer à l’action
  • Clarifier ton offre

Sans intention claire, ton histoire part dans tous les sens et tombe à plat.

En résumé, camarade

Ton histoire est un outil. Pas un exutoire.
Tu ne racontes pas pour vider ton sac. Tu racontes pour éclairer l’autre.
Pour qu’il se reconnaisse, qu’il comprenne, qu’il ait un déclic.

Alors :

  • Clarifie ton message
  • Parle à ton “toi d’avant”
  • Déroule ton récit avec une intention claire

Parce qu’un bon storytelling, c’est pas “regarde-moi”.
C’est “je te montre que je te comprends. Et je peux t’aider.”

Et c’est comme ça que tu deviens crédible. Pas en balançant ta vie à l’aveugle.

Tu veux bosser ton storytelling ? Tu veux qu’on clarifie ton message et qu’on en fasse une arme stratégique ? Je suis là. Tu sais où me trouver.

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