Un storytelling clair comme de l’eau de roche
👉 Ni flou, ni mystique. Juste limpide et stratégique.
On te l’a dit mille fois : faut raconter une histoire.
Mais ce qu’on t’a pas dit, c’est que mal racontée, cette histoire te dessert.
Beaucoup d’entrepreneurs croient que le storytelling, c’est un patch émotionnel.
Un peu de vécu, une larme, deux métaphores… et hop, magie. Mais non. Une marque qui marque, c’est une marque claire. Une marque qui raconte avec stratégie.
Pas de brouillard. Pas de posture. Pas de mysticisme fumeux.
Juste un récit limpide, incarné, structuré autour de son utilité pour l’autre.
Tu veux que ton audience se souvienne de toi ?
Tu veux qu’elle te fasse confiance, qu’elle adhère, qu’elle achète ?
Alors fais le ménage dans ton storytelling. On y va. Ensemble. Et au karcher s’il le faut.
1. Une marque qui marque, c’est une marque qu’on comprend en 10 secondes
🧠 Le cerveau adore la clarté. Il fuit le flou.
Quand tu parles de ta marque, tu dois être capable de répondre à trois questions sans bafouiller :
- Tu aides qui ?
- À quoi ?
- Grâce à quoi ?
👉 Si tu réponds : “j’aide les femmes à se reconnecter à leur puissance sacrée”…
Tu viens de perdre 90 % de ton audience.
Trop flou. Trop vague. Trop ésotérique.
👉 Si tu réponds : “j’aide les entrepreneures à structurer leur message pour vendre sans se trahir”…
Là, on capte. C’est clair. C’est concret. C’est engageant.
Clé n°1 : ton storytelling doit donner de la lisibilité à ton positionnement.
Pas besoin de slogans brillants.
Juste une phrase qui tape là où ça gratte.
2. Une marque qui marque raconte toujours le même film
🎬 Cohérence = confiance.
Pas besoin de 12 récits. Juste d’un bon, répété avec nuance.
Si ton audience entend une fois que tu veux “rendre les gens libres”, puis la fois d’après que tu veux “réveiller leur feu intérieur”, puis encore après “offrir une vision du monde nouvelle”…
Elle décroche.
Elle pige pas qui tu es. Ni ce que tu proposes. Ni pourquoi elle devrait te suivre.
👉 Ta marque, c’est pas une série Netflix.
C’est un film à l’intrigue claire, qui se décline en scènes différentes, mais avec le même fil conducteur.
Clé n°2 : choisis ta trame narrative et reste dessus.
Exemple :
- Ta blessure d’origine → ce qui t’a poussé à créer cette marque
- Ton “déclic” → ce que tu as compris et qui te guide
- Ton message phare → ce que tu répètes, sans te lasser
C’est pas redondant.
C’est du branding.
3. Une marque qui marque parle à son “toi d’avant”
🪞Si tu veux toucher, parle à celui ou celle que t’étais AVANT d’avoir ta clarté actuelle.
T’as monté ton business pour une raison.
Parce que t’as galéré, t’as douté, t’as flippé.
Et un jour, t’as pigé un truc. Et maintenant, tu veux l’offrir aux autres.
👉 Ton storytelling n’est pas là pour briller.
Il est là pour faire résonner.
Parle à la version de toi-même qui ramait.
Celle qui aurait rêvé d’avoir ce que tu proposes aujourd’hui.
C’est elle ton client idéal. Pas un “avatar” bullshit.
Clé n°3 : ton storytelling doit parler aux tripes. Pas aux personas marketing.
Sois cash. Sois direct. Sois utile.
Et surtout : sois incarné.
4. Une marque qui marque ne cherche pas à plaire à tout le monde
🧨 La clarté, c’est aussi du tri.
Et le tri, c’est du courage.
Quand tu assumes ton parcours, ton point de vue, ta manière de faire… tu déranges.
Et c’est très bien.
👉 Les marques floues veulent “inspirer tout le monde”.
👉 Les marques puissantes veulent impacter quelqu’un de précis.
Tu ne seras jamais aimé de tous.
Mais tu peux devenir indispensable pour quelques-uns.
Clé n°4 : ton storytelling doit exclure les mauvais profils.
Tu parles aux “tiens”. Les autres, qu’ils passent leur chemin.
En résumé, camarade
Une marque qui marque, c’est pas une marque qui crie.
C’est une marque qu’on entend parce qu’elle sait ce qu’elle dit.
Son storytelling est :
- Limpide (on comprend ce qu’elle fait)
- Cohérent (elle raconte la même chose sous différents angles)
- Incarné (elle parle à son ancien “elle/lui”)
- Assumé (elle ne cherche pas à plaire, elle cherche à résonner)
Et ça, ça s’appelle du branding intelligent.
Pas du blabla ésotérique.
Tu veux clarifier ton histoire ? Faire le tri dans ton récit ? Construire un message qui colle à la peau de ton audience ?
Je suis là. On nettoie ensemble. On recentre. Et on raconte ce qui compte vraiment.