ChatGPT ne remplacera jamais ton vécu
💬 Mais il peut t’aider à mieux le formuler.
J’ai commencé à écrire pour ne pas exploser.
Pas pour publier. Pas pour vendre.
Juste pour poser ce que j’avais sur le cœur sans avoir à hurler.
Les mots, c’était ma planche de salut.
Quand t’as grandi dans une maison où on te dit de te taire,
où les colères s’expriment en claques,
et les douleurs en silences,
écrire, c’est pas un luxe. C’est une putain de nécessité.
Mais au début, c’était le chaos.
Un mélange de rage, de peur, de confusion.
Et surtout, aucune structure.
Alors j’ai appris. Pas en suivant un cours.
En lisant. En me plantant. En recommençant.
Et un jour, bien plus tard, j’ai découvert ChatGPT.
Pas comme un outil miracle.
Mais comme un miroir. Un assistant. Un écho.
1. L’IA ne connaît rien à ta vie. Et c’est très bien comme ça.
🧠 Ton vécu, c’est ta matière première.
ChatGPT peut t’aider à écrire, mais il ne sait pas ce que tu as traversé.
Il ne connaît pas ton enfance. Tes nuits blanches. Tes hontes. Tes victoires.
Et c’est là toute la différence.
L’émotion brute, l’intensité d’un souvenir, le goût amer d’un échec…
Ça, c’est toi.
L’IA, elle, ne fait que t’aider à organiser le chaos.
Elle ne remplace jamais l’histoire.
Elle ne sent rien. Elle ne tremble pas. Elle ne survit pas.
Elle structure. Elle amplifie. Elle clarifie.
Mais elle n’invente rien qui ait du poids si toi, t’en mets pas.
2. Écrire t’a sauvé. L’IA te fait aller plus loin.
✍️ Le fond vient de toi. La forme, on peut la peaufiner.
Moi, j’ai écrit des centaines de textes avant qu’un seul ne résonne.
Jusqu’au jour où j’ai pigé :
“Ce n’est pas ce que tu dis qui touche, c’est pourquoi tu le dis.”
Ce que l’IA m’a appris, ce n’est pas à écrire.
C’est à structurer ce que je ressentais.
À reformuler sans perdre l’intensité.
À trouver la bonne accroche pour que le lecteur reste.
À couper les longueurs, resserrer le message, maintenir la tension.
Elle me tend un cadre. Moi, je le remplis avec mes tripes.
3. L’IA, c’est ton outil. Pas ton identité.
🧰 Elle peut tout faire, sauf vivre à ta place.
Tu peux lui demander d’imiter un style.
De t’aider à résumer, à reformuler, à améliorer.
Mais si tu veux qu’on t’écoute, que ça résonne,
tu dois y mettre ta vie. Ta voix. Ta vibration.
Un texte qui touche, c’est pas une suite de belles phrases.
C’est un cri maîtrisé. Un souvenir mis en ordre.
Une émotion qu’on a accepté de rendre visible.
Et là, l’IA devient magique. Parce qu’elle ne trahit pas.
Elle ne juge pas. Elle t’aide à trouver la forme la plus juste pour ton fond.
4. Tu ne vends pas une méthode. Tu transmets un vécu.
🔥 C’est ça qui crée la résonance.
Sur 4h18, je ne propose pas une promesse miracle.
Je partage ce que j’ai traversé.
Les moments où j’ai cru être foutu.
Les rechutes. Les remises en question.
Les articles que j’ai écrits au fond du trou,
et ceux que j’ai publiés en tremblant.
Et maintenant, quand je coache,
je vois mes clients galérer à formuler ce qu’ils sentent.
Alors on part de là.
De leur vécu.
Pas d’un modèle.
Et l’IA devient un outil au service de cette authenticité.
Pas une machine à contenus creux.
5. Ton vécu, c’est ton pouvoir. Ne le délègue jamais.
🎤 Tu veux percer ? Commence par te raconter pour de vrai.
Aujourd’hui, t’as un micro en or.
Mais si tu dis ce que tout le monde dit,
si tu écris comme un résumé de résumé,
tu deviens invisible.
Pose-toi cette question :
“Quelle histoire je suis seul à pouvoir raconter ?”
Et là, tu tiens ta voix.
Ta différence. Ton message.
L’IA t’aidera à le mettre en forme.
Mais elle n’écrira jamais le cœur. Ça, c’est à toi.
Tu veux que l’IA t’aide ? Commence par te dire.
Pas pour faire joli. Pas pour faire comme les autres.
Mais pour te libérer. Pour transmettre. Pour connecter.
👉 Et si t’as besoin d’un cadre pour formuler ton histoire,
je suis là. Pas pour l’écrire à ta place.
Mais pour t’aider à l’assumer. Et à la faire entendre.