Les limites du “bravo tu vas y arriver”

Les encouragements t’apaisent. Mais ils ne te construisent pas. Ce qu’il te faut, c’est une clarté brutale, une marque solide, un socle. Pas des likes. Pas des pansements. Du vrai, du profond, du structurant.

Les limites du “bravo tu vas y arriver”

4h18-message-construire

Pourquoi les encouragements ne suffisent pas (et ne suffiront jamais)

Introduction immersive

Sur les réseaux, on te félicite. On t’encourage. On te dit que t’as du talent, que ça va venir, que c’est normal, que c’est dur pour tout le monde. Et oui, ça fait du bien. Un shoot d’encouragement, c’est doux.

Ça apaise l’égo en souffrance. Ça te donne envie de continuer, de croire un peu. Jusqu’à demain matin. Jusqu’à la prochaine claque. Jusqu’au prochain post qui fait un bide monumental pendant que d’autres affichent des likes à quatre chiffres et des DM pleins de demandes.

J’en ai eu des « encouragements« . À 22 ans, ma mère m’a foutu une gifle devant ma copine en me disant qu’elle en avait encore le droit. J’étais un homme. Enfin presque. Je me construisais. Et je me prenais des claques, pas des encouragements. Alors crois-moi, les mots doux, ça aide. Mais ça ne suffit pas.

Ce dont tu as besoin, ce n’est pas d’une tape dans le dos. C’est d’une putain de colonne vertébrale. Et ça, tu ne le trouves pas sur un post LinkedIn bienveillant.

Les encouragements sont des pansements

🩹 Ça soulage… mais ça ne soigne pas

Je ne critique pas les encouragements. Ils font leur job : apaiser. Pendant quelques secondes, quelques minutes, peut-être même quelques heures. Mais ils ne réparent rien. Ils camouflent le doute. Ils ne l’éteignent pas.

Quand tu te lèves avec la boule au ventre parce que tu ne sais pas quoi dire aujourd’hui, que tu remets encore à plus tard la rédaction de ton offre ou que t’as peur de te montrer… aucun commentaire “bravo tu vas y arriver” ne viendra combler le vide.

Parce que ce n’est pas de courage dont tu manques. C’est de clarté.

Et la clarté, ça ne se trouve pas dans un fil d’actualité.

Il te faut une base, pas un boost

🧱 C’est ton socle qui manque, pas ton énergie

Tu crois que t’es fatigué ? Peut-être. Mais ce qui te vide, c’est surtout l’absence de structure. Tu postes sans savoir à qui tu parles. Tu “crées du contenu” sans te souvenir pourquoi tu t’es lancé. Tu t’inspires des autres sans comprendre ce que tu veux construire toi.

J’ai connu ce chaos. Moi aussi, j’ai fait des posts “inspirants” en espérant que ça clique. Et quand ça ne prenait pas, je doutais de moi, de ma légitimité, de ma voix.

👉 Jusqu’au jour où j’ai arrêté de chercher des likes, et que j’ai commencé à poser des fondations.

Ce jour-là, j’ai changé de posture. Je suis passé de suiveur à bâtisseur. Et toi ?

Ta marque, c’est ta boussole

🧭 Tant que tu ne sais pas qui tu es, tu tourneras en rond

Ce n’est pas une histoire de motivation. C’est une histoire d’identité. Tu veux qu’on t’écoute ? Commence par savoir ce que tu veux dire. Tu veux vendre ? Commence par assumer ce que tu proposes. Tu veux inspirer ? Commence par incarner. Pas copier.

Tu n’as pas besoin de créer un personnage. Tu as besoin de te retrouver. De comprendre d’où tu viens, ce qui t’a forgé, ce que tu refuses de reproduire.

Moi, j’ai été élevé à coups d’humiliation. Je me suis cru inutile. J’ai grandi avec l’idée que je ne méritais rien. Et pourtant, aujourd’hui, j’aide des indépendants à créer une marque à leur image. Pas parce que je suis plus malin. Mais parce que j’ai fait le ménage. J’ai posé à plat. J’ai assumé.

Ce que tu dois construire, ce n’est pas du contenu : c’est un socle

🔨 Et ça commence par poser les vraies questions, le contenu viendra ensuite

Avant de poster ton prochain carrousel ou de lancer ta newsletter, pose-toi :

  • Pourquoi je fais ça, vraiment ?
  • Qui suis-je en train d’essayer de devenir ?
  • Est-ce que je suis fier de cette marque ?
  • Est-ce que je suis clair sur ce que je vends ?
  • Est-ce que je sais à qui je parle ?

Tant que ces réponses ne sont pas solides, tous les encouragements du monde ne seront que des paillettes jetées sur une fracture ouverte.

Avance. Même si ça fait peur.

🏃‍♂️ Laisse les likes. Bâtis quelque chose de vrai.

Arrête de t’ambiancer tout seul sur des likes creux. Ce qui t’attend, c’est pas un “tu peux le faire” en commentaire. Ce qui t’attend, c’est le doute, la solitude, le vide. Et tu peux le traverser. Pas en cherchant plus de validation. Mais en allant chercher plus de vérité.

La tienne.

Et si t’as besoin qu’on t’aide à poser les bases : je suis là.

Pas pour te féliciter. Mais pour te montrer ce que t’as dans le bide.

Pourquoi les encouragements ne suffisent pas (et ne suffiront jamais)

Introduction immersive

Sur les réseaux, on te félicite. On t’encourage. On te dit que t’as du talent, que ça va venir, que c’est normal, que c’est dur pour tout le monde. Et oui, ça fait du bien. Un shoot d’encouragement, c’est doux.

Ça apaise l’égo en souffrance. Ça te donne envie de continuer, de croire un peu. Jusqu’à demain matin. Jusqu’à la prochaine claque. Jusqu’au prochain post qui fait un bide monumental pendant que d’autres affichent des likes à quatre chiffres et des DM pleins de demandes.

J’en ai eu des « encouragements« . À 22 ans, ma mère m’a foutu une gifle devant ma copine en me disant qu’elle en avait encore le droit. J’étais un homme. Enfin presque. Je me construisais. Et je me prenais des claques, pas des encouragements. Alors crois-moi, les mots doux, ça aide. Mais ça ne suffit pas.

Ce dont tu as besoin, ce n’est pas d’une tape dans le dos. C’est d’une putain de colonne vertébrale. Et ça, tu ne le trouves pas sur un post LinkedIn bienveillant.

Les encouragements sont des pansements

🩹 Ça soulage… mais ça ne soigne pas

Je ne critique pas les encouragements. Ils font leur job : apaiser. Pendant quelques secondes, quelques minutes, peut-être même quelques heures. Mais ils ne réparent rien. Ils camouflent le doute. Ils ne l’éteignent pas.

Quand tu te lèves avec la boule au ventre parce que tu ne sais pas quoi dire aujourd’hui, que tu remets encore à plus tard la rédaction de ton offre ou que t’as peur de te montrer… aucun commentaire “bravo tu vas y arriver” ne viendra combler le vide.

Parce que ce n’est pas de courage dont tu manques. C’est de clarté.

Et la clarté, ça ne se trouve pas dans un fil d’actualité.

Il te faut une base, pas un boost

🧱 C’est ton socle qui manque, pas ton énergie

Tu crois que t’es fatigué ? Peut-être. Mais ce qui te vide, c’est surtout l’absence de structure. Tu postes sans savoir à qui tu parles. Tu “crées du contenu” sans te souvenir pourquoi tu t’es lancé. Tu t’inspires des autres sans comprendre ce que tu veux construire toi.

J’ai connu ce chaos. Moi aussi, j’ai fait des posts “inspirants” en espérant que ça clique. Et quand ça ne prenait pas, je doutais de moi, de ma légitimité, de ma voix.

👉 Jusqu’au jour où j’ai arrêté de chercher des likes, et que j’ai commencé à poser des fondations.

Ce jour-là, j’ai changé de posture. Je suis passé de suiveur à bâtisseur. Et toi ?

Ta marque, c’est ta boussole

🧭 Tant que tu ne sais pas qui tu es, tu tourneras en rond

Ce n’est pas une histoire de motivation. C’est une histoire d’identité. Tu veux qu’on t’écoute ? Commence par savoir ce que tu veux dire. Tu veux vendre ? Commence par assumer ce que tu proposes. Tu veux inspirer ? Commence par incarner. Pas copier.

Tu n’as pas besoin de créer un personnage. Tu as besoin de te retrouver. De comprendre d’où tu viens, ce qui t’a forgé, ce que tu refuses de reproduire.

Moi, j’ai été élevé à coups d’humiliation. Je me suis cru inutile. J’ai grandi avec l’idée que je ne méritais rien. Et pourtant, aujourd’hui, j’aide des indépendants à créer une marque à leur image. Pas parce que je suis plus malin. Mais parce que j’ai fait le ménage. J’ai posé à plat. J’ai assumé.

Ce que tu dois construire, ce n’est pas du contenu : c’est un socle

🔨 Et ça commence par poser les vraies questions, le contenu viendra ensuite

Avant de poster ton prochain carrousel ou de lancer ta newsletter, pose-toi :

  • Pourquoi je fais ça, vraiment ?
  • Qui suis-je en train d’essayer de devenir ?
  • Est-ce que je suis fier de cette marque ?
  • Est-ce que je suis clair sur ce que je vends ?
  • Est-ce que je sais à qui je parle ?

Tant que ces réponses ne sont pas solides, tous les encouragements du monde ne seront que des paillettes jetées sur une fracture ouverte.

Avance. Même si ça fait peur.

🏃‍♂️ Laisse les likes. Bâtis quelque chose de vrai.

Arrête de t’ambiancer tout seul sur des likes creux. Ce qui t’attend, c’est pas un “tu peux le faire” en commentaire. Ce qui t’attend, c’est le doute, la solitude, le vide. Et tu peux le traverser. Pas en cherchant plus de validation. Mais en allant chercher plus de vérité.

La tienne.

Et si t’as besoin qu’on t’aide à poser les bases : je suis là.

Pas pour te féliciter. Mais pour te montrer ce que t’as dans le bide.

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