Tu postes. Ça clique. Ça like. Tu te sens bien.
Mais… et les ventes ?
T’as posté un contenu hier.
10 likes.
Puis 100. Puis 500.
T’as même eu des partages. Tu t’es senti validé·e.
Tu t’es dit : “ça y est, j’ai trouvé le bon angle.”
Mais à la fin de la semaine, toujours pas un seul client.
Et là, tu t’interroges.
“Pourquoi personne n’achète alors que mes posts cartonnent ?”
“Est-ce que mon offre est trop chère ?”
“Est-ce que j’ai pas assez d’autorité ?”
Non.
C’est juste que t’as confondu viralité et conversion.
Et c’est pas de ta faute.
👉 C’est l’économie de l’attention qui t’a piégé.
Aujourd’hui, on va remettre les métriques à leur place.
Et redonner au contenu sa vraie fonction : nourrir, qualifier, convertir.
1. Le like, c’est une tape sur l’épaule. Pas un ticket de caisse.
👍 Ton ego adore. Ton compte en banque, moins.
Tu crois que t’as validé un besoin, une cible, un angle… parce que t’as eu de l’engagement.
Mais t’as juste validé que c’était agréable à lire.
👉 Un like, c’est :
- Un réflexe.
- Une politesse.
- Une récompense sociale.
Mais c’est pas un signal d’achat.
La vérité ?
T’auras souvent plus de ventes sur un post qui bouscule, qui divise, qui fait réfléchir, que sur un post feel good qui fait des cœurs.
2. Ce que tu ne vois pas : les clients ne likent pas. Ils lisent en silence.
🕵️♂️ Les vrais acheteurs ne commentent pas. Ils observent.
Ceux qui vont vraiment te payer sont :
- En veille silencieuse.
- Discrets.
- Rassurés par ta constance, pas ton buzz.
Ils lisent sur la durée.
Ils ne se décident pas sur un pic d’adrénaline algorithmique.
👉 Ils veulent :
- Voir si tu sais de quoi tu parles.
- Comprendre ce que tu vends, pour qui, comment.
- Savoir si tu vas être là la semaine prochaine.
Ton contenu doit les nourrir, pas les divertir.
3. Tu veux vendre ? Commence par construire un tunnel.
🛠️ Un like ne fait pas entrer dans ton système. Un mail, si.
Tu publies. Tu obtiens de la visibilité.
Mais si t’as pas de point de chute derrière… c’est du vent.
Tu dois avoir une suite logique :
- Un appel à l’action (soft, mais présent)
- Une page claire (pas un lien Linktree noyé dans 8 options)
- Une proposition concrète pour entrer dans ton monde : lead magnet, diagnostic, mini-série, etc.
Tu ne veux pas de likes. Tu veux des mails.
Et pour ça, faut un tunnel. Même simple. Mais clair.
4. Ton contenu n’est pas un feu d’artifice. C’est une autoroute.
🛣️ Il doit guider, pas éblouir
Créer du contenu, ce n’est pas impressionner.
C’est amener.
Amener vers quoi ?
- Une idée forte (ta vision)
- Une transformation (ton offre)
- Une relation (ton système d’emailing, ton nurturing)
Tu veux qu’un post fonctionne ?
Demande-toi :
- Quelle brique il construit ?
- Quelle objection il désamorce ?
- Quel lien il crée avec mon lecteur idéal ?
Et si la réponse c’est juste “ça fait réagir”…
Tu bosses pour la dopamine, pas pour ton business.
5. Ce que je regarde, moi, c’est pas les likes. C’est les leads.
📩 Mon contenu ne fait pas que parler. Il capte.
Tu veux savoir si ton contenu est bon ?
Regarde :
- Combien de mails tu as récupéré cette semaine.
- Combien de prospects sont venus te parler en MP.
- Combien ont cliqué sur ton lien.
- Combien ont lu jusqu’au bout ta page de vente.
Parce que c’est là que tout se joue.
Pas dans les vanity metrics.
Dans les vraies métriques business.
Les likes, c’est la mousse. Les ventes, c’est le fond.
Tu peux continuer à courir après l’engagement.
Après les partages. Après les petits shoots de validation sociale.
Ou tu peux décider que ton contenu sert un tunnel, une offre, une mission.
Tu veux impacter ? Ok.
Mais impacte dans la durée.
Avec des liens. Des mails. Du fond.
Les likes, c’est agréable.
Mais c’est pas ça qui paie ta facture.
Ce qui paie, c’est la clarté de ton système.
Et si t’en as pas encore, t’inquiète.
On va le construire.