Ton storytelling doit faire vendre, pas pleurer
👉 On n’est pas là pour récolter des mouchoirs. On est là pour connecter et convertir.
Tu veux toucher. Tu veux émouvoir.
Alors tu racontes ton parcours. Ton burn-out. Ton déclic. Ton “chemin”.
Et ça marche : les gens likent, commentent, te trouvent inspirant·e.
Mais à la fin de la journée… t’as pas vendu.
Parce que ton storytelling, aussi sincère soit-il, manque le coche : il connecte, mais il ne convertit pas.
👉 Un storytelling efficace, c’est pas une scène de télé-réalité.
C’est un pont entre ton vécu et ton offre.
Si ton histoire fait pleurer mais qu’elle n’invite pas à passer à l’action,
tu racontes… mais tu ne vends pas.
Alors comment on raconte pour créer du lien ET générer du business ?
Réponse en 3 points. Sans mouchoirs. Avec impact.
1. Tu racontes pour créer un pont, pas une distance
🌉 Ton histoire doit rapprocher ton audience de ton offre. Pas l’en éloigner.
Tu partages un bout de ta vie. C’est touchant.
Mais si on ne comprend pas ce que tu proposes, à quoi bon ?
👉 Mauvais exemple :
“J’ai traversé l’enfer. Aujourd’hui je suis là. Merci à ceux qui m’ont soutenu.”
👉 Exemple qui vend :
“J’ai compris une chose dans ce chaos : sans structure, on s’écroule. C’est ce que je t’aide à construire aujourd’hui.”
Ton vécu doit illustrer ton expertise, pas juste ton courage.
Clé n°1 : à la fin de ton récit, ton audience doit comprendre comment tu peux l’aider.
2. Si tu veux vendre, parle de ce que vit ton client. Pas juste de ce que toi t’as vécu.
🪞L’émotion ne suffit pas. Il faut de la projection.
Oui, ton histoire est vraie. Puissante.
Mais si elle ne crée pas de résonance, elle reste une belle anecdote.
👉 Le bon storytelling parle à ton “toi d’avant”.
Celui qui doutait. Qui galérait. Qui ne voyait pas de solution.
Parce que c’est lui que tu veux toucher. C’est lui que tu veux aider.
Et c’est lui que ton audience incarne.
Clé n°2 : ton récit doit contenir son propre miroir.
Pas pour que ton client te trouve admirable.
Mais pour qu’il se dise :
“Putain… c’est moi, ça. Elle/il peut m’aider.”
3. Tu ne racontes pas pour émouvoir. Tu racontes pour faire passer un message
🎯 Chaque récit doit renforcer ton positionnement.
Un bon storytelling, c’est pas une confession.
C’est une démonstration.
Tu veux prouver :
- que tu comprends ce que vit ton client
- que tu as traversé ce qu’il traverse
- que tu as désormais un cadre, une méthode, une offre pour l’en sortir
Clé n°3 : Raconte ta galère, oui.
Mais termine toujours par : “Et voilà ce que j’ai construit grâce à ça. Voilà ce que j’ai à t’apporter.”
Sinon, tu fais de l’émotion… mais pas de transformation.
En résumé, camarade
Un storytelling puissant ne fait pas pleurer. Il fait réfléchir. Il fait bouger. Il fait acheter.
- Tu ne racontes pas pour qu’on te console. Tu racontes pour qu’on te suive.
- Tu ne montres pas ta souffrance. Tu montres ton passage à l’action.
- Tu ne partages pas ton histoire. Tu t’en sers comme levier stratégique.
Connecter sans convertir, c’est sympa.
Mais si tu veux faire du business avec ton vécu…
Il faut apprendre à raconter POUR vendre.
Et ça, ça s’apprend.
Tu veux qu’on travaille ton storytelling de vente ensemble ?
Qu’on transforme ton vécu en autorité, en valeur, en offre claire ?
Tu sais où me trouver.