Le marketing n’est pas ton ennemi

Le marketing, tu en as besoin, mais tu le déteste. Jouer au vendeur de tapis ou de voiture, c’est pas ton truc. Mais voilà, tu en as besoin pour ton business. Le marketing, on en parle ensemble, maintenant.

Tu ne l’aimes pas, mais tu en as besoin

Disons-le franchement, le marketing a une mauvaise réputation dans l’esprit de bien des entrepreneurs.

Pourquoi tant de haine, me demandes-tu ? Plongeons dans ce sac de nœuds émotionnels et pragmatiques.

Éthique et manipulation

Le premier coupable est souvent l’éthique. Le marketing, dans l’esprit collectif, c’est un peu le coin sombre de l’entreprise.

On l’associe à la manipulation, à l’arnaque, à l’art de vendre des frigidaires aux Esquimaux.

C’est pourtant une vision étriquée. N’oublie pas que le marketing, c’est aussi apporter des solutions à des problèmes.

L’art de l’inconnu

La seconde raison, c’est l’ignorance. Et non, je ne jette pas la pierre.

Le marketing est une discipline complexe qui englobe une multitude de compétences.

Certains entrepreneurs se sentent submergés par cette montagne à gravir et finissent par la contourner.

Regarde Jeanne, qui a une petite entreprise de jardinage. Elle a essayé Google Ads une fois, a perdu de l’argent et a conclu que le marketing, « c’est pas pour moi. »

L’infobésité moderne

Troisième point, le bruit ambiant. Aujourd’hui, tout le monde a accès à l’information, et c’est un sacré merdier.

Entre les gourous du marketing qui promettent monts et merveilles et les techniques qui changent tous les six mois, difficile de s’y retrouver.

La surinformation crée la confusion, et la confusion crée le rejet.

Un coût, quel coût ?

Enfin, n’oublions pas le nerf de la guerre : l’argent. Dans l’esprit de beaucoup, marketing rime avec budget astronomique.

La réalité est plus nuancée. Il y a des actions marketing peu coûteuses, voire gratuites, qui peuvent avoir un impact significatif.

Mais la croyance persiste, et elle fait des ravages sur la volonté entrepreneuriale.

En face de la réalité

Donc, camarade, si tu n’aimes pas le marketing, tu n’es pas seul. Les raisons sont nombreuses et souvent justifiées.

Mais, et c’est un grand mais, rejeter le marketing, c’est comme ignorer la roue de secours dans ton coffre. Tôt ou tard, tu en auras besoin. Alors, autant apprendre à l’apprivoiser maintenant, non ?

Le Pourquoi avant le Comment

Interroge-toi d’abord sur ta réticence. Est-ce une question d’éthique, de compétence, ou peut-être un peu des deux ?

Connaître la raison t’aidera à adapter ta stratégie. Ne t’inquiète pas, Bruno, un mec qui vend des aspirateurs, détestait aussi le marketing.

Il s’est rendu compte que sa haine venait de l’image du vendeur insistant et manipulateur.

Mais il a changé d’avis quand il a vu que le marketing, c’est aussi créer des relations et résoudre des problèmes.

Le minimum syndical en marketing

Écoute, camarade, il est vrai que le monde du marketing est un océan infini de possibilités.

Tu n’as ni le temps ni l’envie de devenir le roi de la publicité, n’est-ce pas ?

La bonne nouvelle, c’est que tu n’as pas à tout faire. Mais tu dois faire quelque chose, et bien le faire.

Les essentiels du marketing

Regardons les bases. SEO (Search Engine Optimization), réseaux sociaux, contenu de qualité, sans oublier la publicité, sont les piliers. Ils n’ont pas besoin d’une grande équipe ni d’un budget faramineux.

SEO : Le passe-partout du web

Si ton site web est invisible sur Google, autant fermer boutique tout de suite. Oui, c’est si grave.

Tu n’as pas besoin de maîtriser tous les rouages du SEO, mais comprends au moins les bases.

Mots-clés, balises méta, backlinks — apprends ces termes et leur utilité.

À défaut d’être le prochain Mozart du SEO, tu seras au moins capable de jouer « Au clair de la lune ».

Réseaux sociaux : L’art de la conversation

Le monde est sur les réseaux sociaux. Et si le monde y est, tes clients aussi.

Tu n’as pas besoin d’être sur toutes les plateformes, choisis-en une ou deux et deviens bon. Sophie, une coach en nutrition, détestait l’idée de devoir poster constamment.

Elle a choisi Instagram et s’y est tenue. Elle poste de petits conseils, des recettes, engage avec sa communauté. Cela a fait toute la différence.

Contenu de qualité : Le bait ultime

Un contenu médiocre est pire que pas de contenu du tout. Blog, vidéos, podcasts, choisis ton médium et éduque ton audience.

Deviens la source d’informations fiables et pertinentes dans ton domaine.

Crée de la valeur avant même de vendre quoi que ce soit. Les gens viendront pour le contenu et resteront pour le produit ou le service.

Une expertise, un domaine

Si tu n’aimes pas le marketing, tu n’as probablement pas envie de te disperser. Choisis ton poison et excelle dedans.

Si tu es à l’aise à l’écrit, le SEO et le contenu de qualité pourraient être ton créneau. Si tu es plus social, les réseaux sociaux t’ouvriront les bras.

La publicité sur les réseaux sociaux

Écoutons-nous bien, camarade. Tu n’aimes pas le marketing, je saisis le truc.

Mais la publicité sur les réseaux sociaux pourrait être le compromis idéal entre l’efficacité et l’effort. Surtout que la pub sur les réseaux, avec ses commentaires, ses likes, c’est une belle preuve sociale, une arme d’influence massive. Et pour 3 euros par jour sur Facebook, tu peux obtenir de bons résultats.

Tu fais ton truc, tu payes, et paf, tu touches ta cible. Pas mal, hein ?

Pourquoi ça fonctionne

Les réseaux sociaux ont cette capacité quasi-magique de trouver les bonnes personnes pour toi.

C’est un peu comme un chien de chasse qui rapporte le gibier, sauf que le gibier, ce sont des clients potentiels. Le ciblage précis est l’arme secrète.

Tu peux sélectionner l’âge, le sexe, la localisation, et même les intérêts. Imagine Paul, qui vend des kits de brassage de bière.

Il peut cibler des hommes entre 25 et 40 ans, intéressés par le bricolage et la bière artisanale.

C’est pas du tir au pigeon, c’est du tir au canard assis !

Comment faire sans se ruiner

Je sens ton anxiété monter. « Ça va me coûter un bras ! » Relax, mon ami. Tu peux commencer petit.

Un budget de 3 euros par jour peut déjà te donner une idée du potentiel. L’important, c’est de tester, analyser, ajuster.

T’as entendu parler de Marie ? Elle vend des accessoires pour chats.

Elle a testé avec un petit budget et une vidéo mignonne de chats jouant avec son produit. Résultat ?

Elle a quadruplé ses ventes en un mois. Pas mal pour quelqu’un qui ne jurait que par le bouche-à-oreille.

Des erreurs ? Tu vas en faire

Par contre, je ne vais pas te mentir : tu vas faire des erreurs.

Peut-être que tu vas cibler trop large, ou trop précis. Peut-être que ton visuel sera moche comme un pou. C’est pas grave.

L’avantage des réseaux sociaux, c’est que tu peux ajuster en temps réel. Pas besoin d’attendre six mois pour voir si ça marche.

Du temps contre de l’argent

À la fin de la journée, la publicité sur les réseaux sociaux, c’est un échange : tu sacrifies un peu de ton budget pour gagner du temps et de l’efficacité. Et qui sait, tu pourrais même commencer à aimer ce fichu marketing.

En conclusion

Oui, le marketing a mauvaise presse, et parfois, à juste titre. Et oui, tu en as cruellement besoin pour faire vivre ton entreprise. J’espère que ce billet t’aura donné quelques pistes à explorer et qu’il t’aura donné envie de te rabibocher avec le marketing.

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Sharon Colin

Rated 5,0 out of 5

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Sharon Colin
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Un coach à l’écoute, professionnel plein de ressources et de bonnes idées. Stéphane sait être un mentor discret, qui propose des solutions concrètes et qui n’a pas peur d’échanger, de remettre des choses en question, de motiver les troupes… Car c’est ensemble et par le partage des connaissances (et des avis 😉 ) que nous avançons et que nous évoluons. Je suis ravie d’avoir pu bénéficier de son suivi et je compte garder contact. Merci encore pour ton oreille et ton soutien.

Audrey Roit
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